après le vol...

*après le vol avec les aigles, elle décida de redessendre. elle était encore en rage contre kaël-ann, mais ce vol lui a fait du bien. alors, elle décendit et décida de se rendre a son ancienne chambre. elle se souvenait encore du chemain, dans le chateau. elle alla a sont lit. elle s'y coucha. quelque instant plus tard, une femme de chambre (bah la... je sais pas quoi ) entra dans la chambre d'imy. elle fut surprise de la voir*

-Ha, princesse imyzaell... désolé de vous dérangé... je ne savais pas que vous étiez revenue....

*fit elle en regagnant la porte*

-Rester!

*fit la jeune fille mauve.*

-J'aurais besoin d'un service...

-tout ce que vous voulez, princesse!

-j'aimerais que vous alliez chercher Voltem, pour moi.... j'ai un grand besoin de lui parler...

*la femme, connaissait le jeune voltem, car elle l'avait déja vut avec lui, à quelque reprises.*

-j'y vais de ce pas...

*elle sortit de la pièce.*


(tu joura Voltem s.v.p.)

*Voltem arriva, avertit par la domestique.*

-Tu voulais me voir, anyeth?

*elle se leva du lit quand elle entendut Voltem arriver. elle avait encore les yeux rouges. elle alla vers l'elfe et lui donna un calin*

-oui...

*Il l'étreignit. Cela fesait si longtemps qu'il ne l'avait pas vue!*
-Et que me vaut cette visite retarder de 3 ans?

-désolé... vraiment... c'est jusque...

*elle alla s'assoire sur son lit, et mit ses mains sur les yeux. quelques larmes tombirent*

-Que c'est-il passer? Raconte moi tout.

*Il s'assit près d'elle, la serra dans ses bras, et attendit.*

-bah... c'est... a propo de Kaël-Ann... et Xamp...

*elle blottit en boulle sur son amant et commenca a pleurer.*

-Raconte moi, je t'en pris.

*elle leva les yeux rouge vers voltem*

*Il vit dans ses yeux une tristesse profonde meler a de la haine.*

-C'est au chateau, vrai?

-ouais...
*dit elle entre deux senglots*

(ta ta, tatatata, tata ta ta tataaaaaa!)

-Explique moi tout, je te pris.

*Et pour la premiere fois, il remarqua que les yeux d'Imy etait inexplicablement rouge. Tout les autres fois ou sa compagne avait de la peine, jamais ses yeux n'était devenue rouge.*